top of page

Art + Bioéthique

Processus

Six binômes
Six chercheurs bioéthiciens
Six artistes
Découvrez leur processus de création et la mise en commun de leur recherches
Binôme : Audrey Kinkead et Dominick Rathwell-Deault

Audrey Audrey observe le vivant, étudie les phénomènes visibles et invisibles qui semanifestent autour d’elle. Ses projets sont pensés comme des laboratoires de gestes ténus et poétiques questionnant les relations que l’humain entretient avec l’animal. Elle veut repenser les interstices, les réseaux tissés entre espèces, en ignorant les conventions hiérarchiques et souhaite aborder le rapport au vivant avec une pincée d’humour et une vision moins anthropocentriste.

Dominick s'intéresse au concept de responsabilité morale des médecins vétérinaires en regard de leurs patients animaux. Elle est doctorante en sciences cliniques à l' université de Montréal à St-Hyacinthe.

« There is a range of nonhuman animals who are despised or feared or mocked because we have constructed them as the disgusting «other» in our anthropocentric fantasies of existence. » - Randy Malamud (Trash Animals, 2013)

Binôme : Stephanie Coleman et Mathieu Noury

Stephanie applique le langage propre au textile à divers médias tel que les objets trouvés, la peinture, le dessin et le travail du bois. Elle s’intéresse à l’histoire et à la biologie comme disciplines aux multiples facettes qui permettent sans cesse la découverte de nouveaux éléments.

 

Mathieu s'intéresse aux enjeux éthiques de l’application clinique de la nanomédecine et de la médecine régénératrice. Il est chercheur post-doctorant à l'École d’études sociologiques et anthropologiques de l'Université d’Ottawa.

Binôme : Arkadi Lavoie-Lachappelle et Jean-Frédéric Ménard

Arkadi par des manœuvres, des installations en galerie ou des performances, crée des situations qui questionnent les idéologies productiviste et individualiste ambiantes et y opposent une certaine résistance.

 

Jean-Frédéric effectue ses recherches sur l'exploration et l'amélioration des normes dans la relation de soin en néonatalogie. Il est doctorant en Droit à l'University College London.

Binôme : Grace Stokes et Victoria Doudenkova

Grace travaille sur la représentation des frontières poreuses entre art et science. Elle s’intéresse aux relations entre ces deux contextes culturels et à comment l’art a la possibilité de représenter à la fois l’esthétisme et l’idéologie des développements technologiques.

 

Victoria Doudenkova Victoria Doudenkova est étudiante au doctorat en sciences biomédicales (opt. bioéthique) à l'Univerité de Montréal. Ses recherches portent sur la miseen évidence des enjeux qui entourent le soin du syndrome des ovaires polykystiques (SOPK).

Binôme : Mael Lemée et Jonas-Sébastien Beaudry

Mael développe une pratique artiste transdisciplinaire (performance, installation, texte, audiovisuel, théâtre, internet, etc.) qui va de brancher des légumes vivants sur des ordinateurs, à poser des bombes dans des festivals, en passant par raconter des histoires de fantômes aux enfants, donner des conférences très sérieuses sur des sujets qui n’existent pas encore, installer des machines à remontrer le temps, ou vendre des organes de confort.

 

Jonas effectue ses recherches sur l'égalité et inclusion sociale des personnes handicapées. Il est docteur et assistant professeur à la Allard School of Law, UBC, Vancouver.

Binôme : Karine Turcot et Annie Carrier

Karine s’intéresse au mouvement et à la manière dont nous définissons les catégories de perception, voire de définitions (individuelles et sociales) que nous attribuons aux choses qui nous entourent. Elles touchent à plusieurs disciplines telle la sérigraphie, l’installation, la sculpture, la photographie, le livre et le dessin.

 

Annie effectue ses recherches sur les aspects éthiques des stratégies de transfert de connaissances auprès des décideurs organisationnels du secteur de la santé. Ergothérapeute et stagiaire postdoctorale à la Chaire de recherche Connaissances, Politiques et Santé affiliée à la Faculté des sciences infirmières et à l'Institut de Recherche en Santé publique de l'Université de Montréal.

bottom of page